PARS VITE ET REVIENS TARD

Pars vite et reviens tard est le nouveau film de Régis Wargnier
(il a réalisé Indochine, Man To Man...).
Il est adapté du roman de Fred Vargas.

Depuis que j'ai acheté le livre, je savais qu'il allait sortir au cinéma alors j'ai vraiment attendu la sortie du film avec impatience (comme lors de la sortie de Ne le dis à Personne).
Voir un film après avoir lu un livre c'est vraiment quelque chose de déroutant. En lisant un roman on s'imagine dans notre tête notre propre film et lorsqu'on regarde un film, c'est la vision de quelqu'un d'autre qu'on voit et plus seulement la notre. En plus dans un film, tout n'est pas retranscrit de la même manière : des passages sont changés, effacés, réécris, pour faire ressortir d'autres choses.
" Un film ne peut pas être l'exacte copie d'un livre! il y a d'autres règles, d'autres contraintes, d'autres moteurs... Ce qui nous a guidés tout au long de notre travail, c'est le désir d'être fidèle à l'esprit, à l'univers, à la démarche de Fred Vargas plus que le souci d'une stricte illustration de son livre." explique  Régis Wargnier.
Quand je lis un livre, souvent, j'ai très envie de voir ces oeuvres que j'aime beaucoup au cinéma (soit il faudra que ce soit moi qui achète les droits... ce qui n'est pas encore chose possible, soit il faudra que un producteur mise sur un livre que j'ai aimé.

:-(
snif snif !

Les romans de Fred Vargas (L'homme à l'envers), de Ken Follet (Le vol du frelon - Le réseau Corneille) et de Jack Higgins (Opération Virgin) sont autant de romans qui donneraient à mon avis de bons films.
Les romans policiers sont souvent très proche d'une écriture scénaristique. C'est ce que j'aime dans cette littérature, même si par moment le film n'arrive pas à retranscrire la même émotion... (avec le Da Vinci Code, par exemple)

Le film PARS VITE ET REVIENS TARD est donc un (très) bon film (il faudrait que je le revoie à nouveau pour mieux l'apprécier, dans la salle il y avait beaucoup trop de bruits parasites) avec de bons acteurs (José Garcia, Michel Serrault, Olivier Gourmet...)